1 PLACE ACHETEE = 1 PLACE OFFERTE !

Pour les fêtes de fin d‘année, le LOSC vous propose une offre spéciale fin d’année sur la billetterie en ligne de LOSC.fr : 1 place achetée = 1 place offerte !

Pour en bénéficier, rien de plus simple ; il suffit de vous rendre sur LOSC.fr et le match LOSC-ASSE, de choisir le TARIF 1 PLACE ACHETÉE = 1 OFFERTE dans la catégorie de votre choix et de sélectionner ensuite le tarif INVITATION OFFRE 1 ACHETÉE = 1 OFFERTE.

Cette offre est ouverte à tous, valable uniquement sur la billetterie en ligne, dans la limite des places disponibles et jusqu’au 31 décembre 2016.
À noter que les Abonnés LOSC bénéficient de leur côté d’une invitation exclusive sur ce premier match de 2017 (Plus d’informations dans la Brève "1 invitation pour les Abonnés sur LOSC-ASSE !").
 

TARIFS & DISPONIBILITÉS

Les catégories et tarifs disponibles pour ce match sont les suivants :

À noter que sur cette affiche de LIGUE 1, la tribune SUD niveau 2 est également proposée à la vente avec des places de 20 à 21.5€ en catégorie CORNER ou BUT.

Pour conclure cette première moitié de championnat, c’est un Stade Rennais en proie à des doutes qui se dresse sur le route du LOSC. Les Dogues espèrent quant à eux confirmer la bonne première période réalisée face à l’Olympique de Marseille malgré la défaite (2-0). De quoi rebondir et se rapprocher le LOSC de la première partie de tableau ? Sur le terrain, si les deux équipes débutent timidement le match, Sliti ne l’entend pas de cette oreille et décide de partir dans un numéro de soliste. Dans la surface, l’international tunisien se fait faucher. L’arbitre est formel : pénalty pour le LOSC. Eder se charge de le tirer mais sa frappe croisée est bien repoussée par Costil (10’). 

Sans finition, les Dogues reçoivent la punition

Les Rennais sonnent la révolte. Sur corner, Ntep place une tête croisée imparable. Enyeama est battu (0-1, 22’). Les Dogues tentent de relever la tête. Sur son côté gauche, Sliti parvient à centrer, Benzia est à la retombée et place sa tête, mais c’est sans danger pour Costil (24’). Le danger ? Ce sont les bretons qui l’amènent par Said encore lui mais Enyeama est prudent (29’). La suite ? Les hommes de Patrick Collot poussent pour égaliser. Palmieri sur son côté gauche adresse un centre millimétré sur la tête d’Eder, le ballon passe à quelques centimètres du cadre. La menace lilloise s’intensifie (35’). Au retour de la pause, les Dogues repartent sur les mêmes bases. Palmieri est pourtant tout proche d'égaliser sur une reprise de volée (60') mais le verrou rennais tient bien, trop bien. Le temps file et les Dogues se retrouvent à court de solutions. Dans ces cas-là, la lumière peut venir du banc. Terrier tout juste entré arme une frappe croisée boxée du bout des doigts par Costil (78'). Sur coup-franc, Corchia est tout près de tromper le portier adverse (81'), le dénouement est proche... 

LA LUMIÈRE VIENT D'EDER

Les Dogues poussent et tentent leur va-tout. À la réception d'un bon ballon au 18 mètres, Eder ne se fait pas prier et crucifie Costil d'une frappe sèche du droit (89'). Le stade chavire. La suite en découle, les Lillois poursuivent leur domination absolue mais n'arrivent pas à inscrire un deuxième but tant attendu. L'arbitre siffle la fin du match.

Le LOSC s'est arraché pour récolter le point du match nul face à une valeureuse équipe rennaise venue se battre avec ses propres armes. Rendez-vous en 2017 pour le début de la Coupe de France face à l'AS Excelsior Saint-Joseph.

Feuille de match
19ème journée de Ligue 1

LOSC - STADE RENNAIS FC 1-1 (0-1)

Mercredi 21 décembre 2016, 20h50
Stade Pierre Mauroy, temps pluvieux. Toit fermé. 26 181 spectateurs.
Arbitre : M. Miguelgorry

Buts : Eder (89') pour le LOSC, Ntep (22’) pour le Stade Rennais
Avertissements : Lopes (87')

LOSC : Enyeama - Corchia (c), Civelli, Soumaoro, Palmieri - Amadou, Sankharé (Terrier 78') - Benzia (Bissouma 62') - Sliti, Eder, Lopes.
Entraîneur : Patrick Collot

Stade Rennais FC : Costil - Mexer, André, Baal, Danzé (c) - Gnagnon, Fernandes, Gourcuff - Ntep (Diakhaby 74'), Sio (Henrique 86'), Said (Hunou 61').
Entraîneur : Christian Gourcuff

PATRICK COLLOT (ENTRAÎNEUR DU LOSC)

« Les joueurs se sont battus jusqu’à la dernière minute pour revenir dans ce match. Ça nous fait du bien. Eder est un garçon qui va chercher des choses au plus profond de lui même, il sait faire face pour lutter. Il a des valeurs importantes et il les montre sur le terrain. Si notre égalisation est méritée ? Rennes a eu l’opportunité d’ouvrir le score sur coup de pied arrêté. Nous aurions pu faire la même chose sur pénalty en début de match, on ne l’a pas fait. Je regrette le manque de lucidité et de maitrise en 1ère mi-temps. Nous aurions dû poser plus de problèmes à Rennes. Mais avec la force qui leur restait, les garçons sont allés chercher le point du match nul en seconde mi-temps. »

« Si le bilan est positif ? Nous avions 10 points, nous en avons aujourd’hui 21. Nous pouvons partir en vacances avec le sentiment du devoir accompli. Un impact de la vente du club sur l’équipe ? C’est une situation complexe, il faut faire face. On a juste le devoir de travailler et d’être performant. »


 

CHRISTIAN GOURCUFF (ENTRAÎNEUR DU SRFC)

« Je pense que nous avons réalisé un match cohérent. Le pénalty, injustifié à mon sens, aurait pu changer la donne. Notre première mi-temps est assez satisfaisante bien que nous aurions pu aller plus loin dans nos idées. La seconde mi-temps était beaucoup plus difficile car le LOSC a mis beaucoup de pression. Encaisser un but à la 89ème minute est frustrant mais finalement logique au vu de la pression exercée par l’adversaire en 2nde mi-temps. »

« Face à une intensité supérieure, nous sommes fragiles. Nous avons subi face au rythme adverse qui ne nous a pas permis de contrôler le ballon. À domicile, nous avons en général l’initiative. À l’extérieur, c’est plus compliqué car le contexte est différent. »

Martin Terrier (Milieu de terrain du LOSC)

« Nous avons quand même des regrets. On avait l’intention de bien entrer dans ce match, nous avons même eu l’occasion de marquer d’entrée avec le penalty d’Eder. Malheureusement il a été stoppé. Juste derrière, on encaisse ce but qui nous a un peu assommés. On a alors mis du temps à nous remettre dans le match. Puis nous avons su pousser en fin de partie. Je dirais même que les 20 dernières minutes furent pour nous les meilleures. On s’est procuré des occasions franches et on a marqué. C’est mérité, car ce soir on ne méritait pas de perdre. On se satisfait donc de ce point. »

« Personnellement, je me suis senti assez en jambes. Quand on est jeune et qu’on a la chance d’entrer dans un match de Ligue 1, il faut croquer dedans, lâcher les chevaux comme dirait mon père. C’est ce que j’essaye de faire. Déjà de prendre du plaisir, de profiter, parce que ce n’est pas donné à tout le monde de vivre ça. Mon année 2016 ? Je ne l’imaginais pas se terminer ainsi lorsque je l’ai débutée. Surtout que j’ai connu des pépins physiques cet été, je n’étais vraiment pas bien mentalement, mais heureusement, j’ai des proches qui m’entourent, j’ai réussi à sortir la tête de l’eau et à faire plus que prévu. Je ne pensais pas avoir du temps de jeu chez les pros. La suite ? Continuer à être dans le groupe et marquer un but, débloquer mon compteur pour me lancer. »
 

Julian Palmieri (Défenseur du LOSC)

« Avoir 21 points à la trêve, c’était inespéré il y a un mois et demi. Mais ce soir, c’est immérité je pense. On aurait mérité d’être à 23. Il y a ce penalty stoppé, mon occasion… ça fait pas mal de choses qu’on aurait pu mieux faire. Un nul, c’est déjà bien, on ne va pas faire la fine bouche. Cela ne va pas nous permettre de passer la trêve au chaud, mais au moins de partir en vacances un peu plus sereinement que ce qui était prévu. »

« Ce but, on est allé le chercher. Vincent n’a pas eu à effectuer un seul arrêt en deuxième période, preuve qu’on a quand même bien poussé. Rennes a fait ce qu’il pouvait, mais en deuxième mi-temps on était meilleurs je pense. Ils marquent sur un coup de pied arrêté, il ne faut pas non plus l’oublier. On y a cru jusqu’au bout. Car s’incliner 0-1 à la maison juste avant les fêtes avec 20 points, ce n’était pas top. Là, on a un point de plus, c’est peu de choses, mais ça peut faire la différence par rapport à d’autres équipes. »

Hier au Stade Pierre Mauroy, en marge de LOSC-Stade Rennais (1-1), la structure "LOSC Formation" a signé une convention de partenariat avec l’Université Lille II pour la mise en place d’une passerelle permettant aux jeunes Dogues de s’ouvrir à une formation post-bac, un Diplôme Universitaire (DU) en management des clubs sportifs. « Ce partenariat est axé sur plusieurs objectifs, précise Loïc Sallé, Directeur Adjoint de la Fac des Sports. D’abord celui de mettre en place un mode de fonctionnement entre Lille II et LOSC Formation, mais également d’organiser des interventions à la fac et au Domaine de Luchin. Enfin, il est aussi question de permettre aux bacheliers du LOSC d’accéder à des diplômes universitaires. Cette année par exemple, plusieurs jeunes du centre de formation, mais aussi des joueurs en reconversion, des éducateurs et même une joueuse du LOSC Féminines ont accédé à ce DU. »

« On souhaitait mettre en place une solide filière post-bac au sein du LOSC, ajoute José Mariage, le Président du LOSC Formation. L’un des objectifs est de permettre à nos joueurs bacheliers de rester au LOSC tout en poursuivant leurs études supérieures. Nous avons aussi vocation à permettre à ceux qui ne restent pas au club de sortir du Domaine de Luchin avec le bagage scolaire suffisant pour pouvoir rebondir. »





Guillaume Penel, doyen de la faculté des sports de l’Université Lille II et José Mariage, Président du LOSC Formation.

Ce match était aussi l’occasion pour Éric Bauthéac de revenir à la compétition après une pubalgie qui l’a éloigné des terrains depuis mi-octobre. Prévu pour jouer 45 minutes, il s’est senti en jambes physiquement et a réalisé l’intégralité de la rencontre. Mothiba et Habbas ont aussi effectué leur retour.

Amiens ouvre le score à la 30^ème minute après un contre rondement mené qu’Isambart place dans le petit filet. Les deux équipes rentrent donc au vestiaire sur le score de 1 à 0. Nos Dogues vont heureusement se ressaisir en deuxième mi-temps en produisant de bien meilleurs efforts. Le jeu est bien plus tranchant, les lignes bougent beaucoup plus, les intervalles se trouvent. À la suite d’une combinaison entre Bauthéac et Pau, les Lillois obtiennent un corner qui offre l’égalisation au LOSC. Lebo Mothiba le reprend magnifiquement d’une tête décroisée finissant dans le petit filet droit des buts d’Amiens (1-1, 55'). Après un double arrêt magnifique de Jean Butez, le rythme redescend petit à petit. Et alors que la pluie et le froid nous donnent l’impression que les 22 acteurs vont se quitter sur un match nul, Despois, le milieu relayeur d’Amiens, place une superbe frappe enroulée de 25 mètres qui termine sa course dans la lucarne de Butez qui ne peut absolument rien faire.
 

Pendant ce temps-là, l'équipe réserve du LOSC s'est inclinée (1-2) à domicile face à Amiens. @LeboMothiba11 a inscrit le but lillois.

— LOSC (@losclive) December 21, 2016

Réactions d’après match

Rachid Chihab (entraîneur de l'équipe réserve du LOSC) : « On ne doit jamais en arriver là malheureusement. À défaut de pouvoir gagner ce match, on n’aurait pas du la perdre. On se fait un véritable hara-kiri. Il faut être plus vigilant afin de pouvoir produire du positif et construire là dessus. C’est rageant de faire autant d’efforts et de ne rien ramener. »

Eric Bauthéac (milieu de terrain du LOSC) : « Malgré le résultat, j’étais très content de pouvoir remettre les pieds sur un terrain. Cela faisait presque deux mois que j’ai été opéré (25 Octobre ndlr) donc c’était très important de pouvoir retrouver mes repères avant la trêve. C’était un commun accord avec le coach Collot pour que je joue au moins 45 minutes. J’ai géré, mais j’ai pu jouer 90 donc je suis  content.»

Le onze lillois : Butez - Lesueur (Pau 46'), Petitpretz (c), Droehnle, Makutungu - Pollet (Conde 85'), Grebaut, Debordeaux - Bauthéac, Mothiba, Faraj (Habbas 74')

LE RÉSUMÉ EN VIDEO

CLASSEMENT (15J)

1-LUSITANOS 33
2-BOULOGNE BILL 31
3-ENTENTE 26
4-ARRAS 24
5-FLEURY 23
6-LOSC 21
 

Chez les Enyeama, c’est Pounded Yam

« Cette année, je devrais rester en France pendant la trêve. Ces vacances sont trop courtes pour rentrer au Nigéria, sachant qu’il faut deux jours pour y aller et autant pour revenir. C’est donc plus simple de passer Noël ici. La majeur partie de ma famille est loin, je n’ai pas la chance d’avoir beaucoup de proches en France, mis à part mon frère. »



« Chez moi, on ne prépare pas de plats spéciaux pour Noël, on préfère privilégier le moment vécu en famille. L’idée, c’est que chacun réalise ce qu’il veut. Mes enfants, ma femme, tout le monde fait ce qu’il a envie. On essaye simplement de passer une belle soirée, de s’amuser. Par exemple, j’espère vraiment qu’il y aura quelques flocons à Noël, histoire qu’on puisse jouer dehors, courir, tomber, se rouler dans la neige avec les enfants. Malheureusement, on n’a rarement cette chance à cette période. »

« Ce n’est pas dans notre culture de préparer un menu particulier à Noël. En revanche, ça l’est pour le 31 décembre. Il existe des plats typiques pour le réveillon du nouvel an, surtout à base de riz. Et puis il y a le Pounded Yam, une sorte de purée qui se déguste avec une soupe. C’est un plat typique nigérian spécialement dédié pour cette occasion. »

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Arroz doce pour Eder 

« De mon côté, je passerai sans doute le réveillon en Belgique avec ma compagne. On n’a pas encore discuté de ce qu’on allait manger, mais je pense qu’on va rester dans la tradition portugaise de Noël. »

« Le menu ? On devrait partir sur du bacalhau, déjà. C’est incontournable chez nous. Ensuite, il y aura probablement du poulet et en dessert, des fruits et du arroz doce, une sorte de riz au lait très populaire au Portugal. »

Buche et mikatés dans la famille Mavuba

« À Noël, on se retrouve tous en famille, avec les frères et sœurs. Nous sommes une bonne dizaine. Mais avec les neveux, les nièces, ça peut vite monter à 40 autour de la table. En général, on se rassemble à Bordeaux, chez notre mère. »

« Le repas est assez simple. Pour les enfants, on fait dans le classique : frites, dinde. Quant aux adultes, il y a parfois quelques huitres ou du foie gras de la région bordelaise. On a aussi quelques buveurs de bons vins chez les Mavuba. Mais il faut savoir que chez nous, le repas termine toujours par la bûche. »



« Si je devais conseiller un plat aux supporters ? Ce serait sans hésiter un dessert et plus particulièrement ces petits beignets que seule ma mère sait faire. Ils sont vraiment très bons. C’est une pâtisserie zaïroise. En Lingala (la langue parlée au Congo), on appelle ça des Mikaté. C’est un délice (il embrasse ses doigts).

Profitez de tout, mais n’abusez de rien !

Une grosse semaine de trêve hivernale ? Assez pour bien couper, recharger les batteries en famille… mais aussi pour prendre quelques kilos. Et on a demandé à Grégory Dupont, le préparateur physique du LOSC d’évoquer cette période particulière dans une saison.

 « Nous allons bien sûr donner des recommandations aux joueurs avant qu’ils ne partent en vacances. L’objectif est qu’ils ne prennent pas de masse grasse. Après, bien sûr qu’ils feront des écarts pendant les fêtes. Comme tout le monde. Ces moments servent justement à se faire plaisir. Ils doivent profiter avec des repas festifs, mais ça doit rester exceptionnel. A partir du moment où cela se présente quelques fois dans l’année, ce n’est pas un problème. »

« Pendant la trêve, chaque joueur possède un programme sportif individualisé en fonction de plusieurs critères et des objectifs de chacun. On ne va par exemple pas donner le même travail à un joueur sur le point de disputer la CAN qu’à un blessé en phase de reprise ou à un joueur en mesure de jouer dès la rentrée en Coupe de France. Il s’agit essentiellement d’un travail à base de courses et de musculation. »

La signature de cet accord doit permettre d’aboutir au "closing", qui devrait intervenir avant le 20 janvier 2017, après que les derniers éléments de procédure soient respectés.
Cette nouvelle étape est décisive en vue de la succession officielle et définitive de Gérard Lopez à Michel Seydoux à la tête du LOSC.

Communiqué officiel de Michel Seydoux et Gérard Lopez

Un Noël chez vous, ça donne quoi ?

Yves Bissouma : « Un Noël en famille, c’est beaucoup d’émotions. C’est quelque chose qui n’arrive qu’une fois par an, c’est toujours très spécial de partager un moment en famille. Nous sommes en général très nombreux. De mes parents à mes sœurs et à mes cousines, toute la famille est présente. Cette année, je ne vais pas changer les bonnes vieilles habitudes, ce sera avec ma famille ! »

Julian Palmieri :« À la base, c’est un Noël où nous mangeons tous ensemble en famille autour d’une table et on attend minuit pour ouvrir les cadeaux. Mais cette année, on va faire un peu différent. Nous serons moins nombreux mais toujours avec la même envie (sourire). »

Sébastien Corchia : « C’est en famille avant tout, plutôt dans la tranquillité et la bonne humeur. Toute la famille est présente et forcément il y a un peu d’ambiance. Ça fait plaisir de se retrouver dans des moments comme ça car on n’a pas l’opportunité d’en vivre souvent dans l’année. »

Rony Lopes : « C’est avant toute la famille, on est ensemble, on mange puis on danse et on chante. À minuit, on prie tous ensemble puis nous recommençons à chanter et à danser. On est beaucoup ! Entre 15 et 20 personnes. Tout le monde est heureux et c’est ça le plus important, c’est d’être tous ensemble en famille et de profiter des petits moments. »

Organisés les Dogues ?

Rony Lopes :« Tout est déjà mis en place ! (rires). On est prêts à passer de bons moments ! »

Sébastien Corchia : « Oui, tout est déjà prévu pour le réveillon, comme à l’accoutumée. Je suis tranquille de ce côté-là. »
 

Un cadeau qui vous a marqué ?

Julian Palmieri :« Oui, mais c’était plutôt lors de mon anniversaire de l’année dernière, on m’a offert une poule ! (il sourit). Mais sinon lorsque j’étais petit, on m’a offert une petite moto électriqueà Noël. Chose que j’avais toujours voulue mais elle n’avait pas fait long feu car ma cousine me l’a grillée (rires). Mais j’en étais très content ! »

Sébastien Corchia :« Je n’ai pas spécialement de souvenir de cadeaux m’ayant marqué. Disons que tous les cadeaux me font plaisir ! (sourire). »

Qu’avez-vous demandé au Père Noël cette année ?

Julian Palmieri :« J’ai demandé des cadeaux pour mes enfants ! Pour moi pas grand-chose mais j’essaie de bien gâter mes enfants qui ont été très gentils cette année. »

Sébastien Corchia :« C’est la surprise cette année ! Je ne suis au courant de rien du tout pour ce Noël, mais j’aime ça les surprises ! (il sourit) »


Un beau cadeau ? Les Dogues comptent bien en offrir à leurs supporters dès ce début d'année 2017. On vous souhaite un heureux réveillon et un joyeux Noël à tous.

Comment vis-tu le fait de faire désormais partie de ce groupe France ?
Être dans la liste représente déjà beaucoup pour moi. C’est une grande fierté de défendre les couleurs de ce maillot. Cela vient récompenser tout le travail réalisé en club. Avoir la confiance du sélectionneur, ça booste encore un peu plus ta motivation au quotidien. Je suis aussi très heureux d’avoir pu honorer ma première sélection contre la Côte d’Ivoire (0-0). Maintenant, j’ai conscience qu’il faut travailler encore davantage, car le plus difficile est d’y rester… C’est mon objectif.
 
Avec du recul, que retiens-tu de cette première cape en Bleus ?
Une première sélection, c’est vraiment particulier et ça restera gravé dans ma mémoire. J’ai appris que j’allais jouer durant la seconde période à la mi-temps. Didier Deschamps m’a dit que je rentrerai au bout de 15-20 minutes. Je suis alors parti m’échauffer, en essayant de ne pas trop cogiter. Il m’a aussi demandé de jouer comme à mon habitude, de ne pas me mettre de pression.
 

Honoré et fier d'avoir connu ma première sélection avec l'@equipedefrance Maintenant il faut continuer à travailler #FiersdetreBleuspic.twitter.com/WvOkT5g22I

— Sébastien Corchia (@SebCorchiaOff) 16 novembre 2016

J’imagine que c’est rassurant…
Ses mots m’ont beaucoup aidé… Sur le moment, des tas d’images défi lent dans ta tête. Tu repenses à tout le chemin parcouru pour arriver jusqu’à cet instant-là. De mon premier club en région parisienne, en passant par toutes les étapes qui ont suivi. Et après, une fois sur le terrain, je me suis concentré uniquement sur le jeu. Tu oublies le reste.
 
As-tu le sentiment d’avoir franchi un palier dans ta progression ?
Bien sûr. Je me sens plus serein qu’à mes débuts. J’ose davantage, j’ai plus de certitudes sur mon jeu, d’automatismes. Et côtoyer de grands joueurs - en Équipe de France notamment - ça te permet d’acquérir plus d’expérience. D’ailleurs, j’ai été très bien accueilli chez les Bleus. Je trouve que l’ambiance est vraiment excellente, ce qui facilite l’intégration. Même les joueurs que je ne connaissais pas sont venus tout de suite vers moi. Et cette ambiance se ressent sur le terrain…
 

“Pour l’instant, ma seule préoccupation, c’est le LOSC. Le reste viendra naturellement”

 
 


 
Rami, Digne, Payet, Sidibé : il y a pas mal d’anciens du LOSC chez les Bleus…
C’était marrant de se retrouver, même si on n’a pas tous été au LOSC à la même période. On s’est raconté des petites anecdotes de nos années lilloises. Des souvenirs remontent à la surface. Ils ont tous joué ensemble ici, alors tu imagines bien que ça fuse… Au final, le club est bien représenté en Équipe de France. Et comme un clin d’œil, c’est Djibril (Sidibé) que j’ai remplacé lors de mon entrée en jeu…
 
Forcément, ça donne envie d’y retourner, tu confirmes ?
Dans ma tête, j’essaye de ne pas trop me projeter, de prendre les événements les uns après les autres. Pour l’instant, ma seule préoccupation, c’est le LOSC. Ce qui passe justement par de bonnes performances. Le reste viendra naturellement…

Un stage pas comme les autres chez les Bleues

 
Floriane Azem   :« Cette convocation en Équipe de France B était une grande première pour moi. Jusqu’ici, j’avais simplement été appelé chez les U19. Mon sentiment ? J’étais à la fois contente et stressée(rire). Le stage s’est bien passé, il y avait beaucoup d’intensité lors des séances d’entraînement. Je ne retiens que du positif de cette expérience. »
 
Jessica Lernon :« Pour moi, c’est la seconde fois. J’avais été en Équipe de France militaire en octobre 2015, puis avec les B en avril dernier pour le match en Serbie (0-2). Je suis aussi très satisfaite, car comme l’a dit Floriane, il y avait beaucoup d’intensité au sein d’un groupe où il n’y avait quasiment que des joueuses de D1(sur les 26 filles convoquées, 7 seulement évoluent en D2). C’est un autre niveau, même si j’ai déjà connu l’élite du foot féminin pendant trois saisons avec Arras. Ça joue en trois touches de balle maximum. Ça nous permet de progresser. »
 

Jessica #Lernon et Floriane #Azem convoquées en @equipedefrance B pour un stage à #clairefontaine#WeAreLOSC⚪️ pic.twitter.com/pIGpaRPoH1

— LOSC (@losclive) 12 octobre 2016

Le maillot de l’Équipe de France

Floriane Azem :« C’est une fierté de représenter son pays. On est contente de porter ce maillot. On veut l’honorer au mieux en se montrant à la hauteur sur le terrain. C’est le but de toute joueuse de revêtir un jour cette tunique bleue. »
 
Jessica Lernon :« C’est certain, on a un objectif collectif avec le LOSC, mais je pense aussi que chaque joueuse possède un objectif individuel, avec en ligne de mire l’Équipe de France. Alors quand on a la chance de porter cette tunique, on profite de chaque instant et ensuite, on la garde bien au chaud (elle sourit). »


 

Floriane vs Jessica, ça donne quoi ?

Floriane Azem :« Après deux séances, une basée sur le jeu et l’autre sur des spécifiques attaque/défense, on a fait une opposition entre nous, même si au début, on devait jouer contre l’Équipe de France Universitaire. On a eu le droit à trois mi-temps de vingt-cinq minutes. »
 
Jessica Lernon : « Et on n’était pas dans la même équipe (elles se marrent). Mais cette opposition était intéressante, même si je n’ai pas forcément joué à mon poste de prédilection tout au long du match. À un certain moment, je me suis même retrouvé milieu gauche, après avoir évolué en latérale, à droite et à gauche. »
 
Floriane Azem :« Moi, ça va, j’ai joué dans les buts durant toute la partie (rires). J’ai été sollicitée plusieurs fois et je n’ai pas pris de but. J’étais donc satisfaite. »

Floriane #Azem et Jessica #Lernon sont en ce moment en stage à #Clairefontaine avec l'@equipedefrance B #WeAreLOSCpic.twitter.com/mZCyWlzJ8Y

— LOSC (@losclive) 19 octobre 2016

Un regard sur l’Équipe de France A

Jessica Lernon :« Les A étaient à Clairefontaine en même temps que nous. Nous avons donc été les voir plusieurs fois à l’entraînement. C’est carrément un autre monde, le fossé est énorme. On voit qu’elles sont habituées à jouer ensemble, les automatismes sont là. C’est impressionnant. Les consignes du nouveau sélectionneur (Olivier Echouafni) sont très claires. Il arrête chaque phase de jeu pour replacer ou corriger. Ça donne envie d’y aller un jour… »



 
Floriane Azem :« Carrément, oui. Mais il faudra d’abord accéder à la D1 avec le LOSC pour espérer y prétendre un jour. Et il reste beaucoup de travail à faire. »
 
Jessica Lernon :« Toute joueuse aimerait être en Équipe de France. Le fait d’être en B est déjà une bonne chose, c’est une belle étape.  D’ailleurs, Olivier Echouafni est venu voir l’opposition, il a pris des notes… »

Le LOSC et les Bleues

 
Jessica Lernon :« On nous a posé beaucoup de questions sur la section féminine du LOSC. On leur a expliqué le fonctionnement, même si l’entraîneur de l’Équipe de France B(Jean-François Niemezcki)connaît très bien Lille, il vient souvent voir nos matchs de championnat d’ailleurs. Tout le monde nous imagine déjà en D1, mais il ne faut se projeter si loin, la saison est longue. » 
 
Floriane Azem :« Le jour où la liste est sortie, c’est Jules-Jean (Leplus) qui me l’a appris. Je ne le croyais pas au début. Et quand je suis arrivée dans le vestiaire pour l’entraînement, toutes les filles m’ont applaudie. Elles nous ont félicitées et étaient contentes pour nous. »



 
Jessica Lernon :« Un pression supplémentaire ? Non, on veut juste essayer d’être tout le temps à 100% voire plus, pour se montrer à la hauteur de ce maillot. On doit être concentrées à l’entraînement ou en matchs. La suite ? Il y a deux stages prévus en janvier et en mars, un tournoi en Croatie est au programme, avec 4 rencontres. »
 
Floriane Azem :« On va d’abord continuer à bosser à fond avec le LOSC et après seulement, on regardera la liste au mois de janvier. »

Salut Nico. Quel bon vent t’amène à nous aujourd’hui ?
(il sourit) Je suis ici parce que j’ai commencé une formation en BPJEPS au Domaine de Luchin avec l’organisme LOSC Formation, qui me permettra dans 18 mois, si je bosse bien, d’être diplômé comme coach sportif. C’est ma voie, mon projet de reconversion. Je souhaite ensuite créer ma structure en tant qu’autoentrepreneur et développer mon cercle de clients dans la région. Car mes racines sont ici, dans le Nord. Je ne vois pas pourquoi j’irais m’installer ailleurs.

Faut-il comprendre que tu n’es plus footballeur ?
Tout à fait. J’ai arrêté ma carrière l’été dernier après une dernière saison avec le Paris FC (Ligue 2) lors de laquelle je suis resté, en tout et pour tout, quasiment huit mois à l’infirmerie à cause d’une pubalgie tenace. J’ai eu beau essayer de me remettre d’aplomb, notamment à Clairefontaine, je n’y suis pas parvenu. J’aurais pu me faire opérer, mais à 32 ans, le choix était vite fait, d’autant qu’il n’y avait aucune garantie que je puisse rejouer. Et puis j’avais fait un peu le tour, j’avais envie de passer à autre chose.



C’est donc sans nostalgie que tu raccroches ?
Je ne dis pas que c’est facile. Pendant treize ans, ce métier fut mon quotidien, j’ai baigné dedans. C’est clair que quand je vois les joueurs arriver à l’entraînement comme aujourd’hui, que j’observe les échauffements avant les matchs, ça me manque. J’ai bien eu quelques opportunités de signer à l’étranger cet été, notamment en Thaïlande, mais ça ne m’intéressait pas, sans compter les douleurs dans le bas ventre à chaque fois que je tape dans le ballon. Je me dis que j’ai assez profité. Je ne regrette vraiment rien.

Maintenant qu’elle vient de s’achever, quel bilan tires-tu de ta carrière ?
Au regard de mon parcours atypique, c’était déjà exceptionnel de devenir pro. Pour rappel, j’ai rejoint Lens à 13 ans, mais j’ai été "viré" deux ans plus tard pour "lacunes techniques". Ce terme résonne toujours dans ma tête. J’ai donc joué à Béthune jusqu’à 17 ans, âge auquel je suis arrivé au LOSC, d’abord avec Rachid Chihab, puis avec Pascal Plancque. Je suis finalement passé pro à 19 ans avec Claude Puel. À l’époque, je me disais déjà : « profite de la chance que tu as de pouvoir jouer en Ligue 1 ».



Et finalement, tu as connu bien plus que la Ligue 1…
C’est vrai. J’ai honoré une dizaine de sélections en Équipe de France Espoirs, j’ai joué l’Intertoto Cup, l’Europa League, la Champions League… Après, bien sûr, j’ai fait des choix de carrière. Plus ou moins bons. Mais au final, j’ai disputé 318 matchs en pro (dont 124 en Ligue 1). C’est déjà une belle carrière. Mon seul petit regret serait d’être monté très haut très vite avec le LOSC, pour finalement terminer en Ligue 2, sur une relégation et avec une blessure. J’aurais préféré finir sur quelque chose de positif.

Le LOSC reste le club dans lequel tu auras disputé le plus de matchs dans toute ta carrière (131). Que gardes-tu de ces années lilloises ?
Difficile de répondre à cette question. Des souvenirs, j’en ai plein la tête : entre notre victoire à San Siro, le fait d’avoir affronté de très grands joueurs, mais aussi mon premier but en Ligue 1 contre Lens…. L’ère Claude Puel restera de toute façon pour moi le plus beau passage de ma carrière. Je pense même aujourd’hui avec le recul que mes treize ans de professionnalisme, je les lui dois, ainsi qu’à Pascal Plancque.



Tu es donc de retour dans la région. Mais dis-moi, quand tu croises des supporters lillois en ville, que te disent-ils ?
(il rigole) J’hallucine devant le nombre de personne qui me reconnaissent et m’interpellent dans la rue. Ça fait vraiment chaud au cœur de voir qu’ils se souviennent de moi. Ça prouve qu’à mon niveau, j’ai compté pour eux, pour le club. Alors je leur dit que je suis de retour… pour suivre une formation. Ce n’est pas anodin si je suis là. Le LOSC est mon club de cœur, celui qui m’a formé, où j’ai tout appris, tout vécu. J’ai toujours suivi ses résultats, même quand je jouais ailleurs. Je suis devenu un supporter, finalement.

Terminons sur un scoop : tu vas à nouveau porter le maillot du LOSC ! 
(il se marre) Oui, voilà, on peut l’annoncer aujourd’hui. Je dois encore régler quelques détails administratifs, mais c’est officiel, j’ai resigné au LOSC… pour jouer avec les Anciens Dogues. Encore faut-il que ma pubalgie me laisse tranquille. Quand on me l’a proposé, je n’ai pas hésité, j’ai accepté avec un grand plaisir !

Merci Nicolas Fauvergue. Bienvenue chez toi !

Nicolas Fauvergue

Né le 13/10/1984 à Béthune
Attaquant

Clubs : Stade béthunois (1994-1997), RC Lens (1997-2001), Stade béthunois (2001-2002), LOSC (2002-2009), RC Strasbourg (2009-2010), CS Sedan Ardennes (2010-2012), Stade de Reims (2012-2013), FC Metz (2013-2014), AC Ajaccio (2014-2015), Paris FC (2015-2016)

Palmarès : Vainqueur de l’Intertoto Cup 2004 (LOSC), Vainqueur du Tournoi de Toulon 2005 (France Espoirs), Champion de France de Ligue 2 2014 (FC Metz)

International Espoirs (9 sélections)

La reprise ? C'est aujourd'hui et c'est à vivre ici, sur Snapchat (losc_officiel) et Instagram ⛺ (@losclive). pic.twitter.com/qZMqrwSL1h

— LOSC (@losclive) December 30, 2016

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